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  Introduction : P.G.P. pour Pump Gun Paintball (lanceur de paintball à pompe) Le Roi du Stock-Class ! L‘Empereur du dernier recours !! Le préféré des vrais James Bond !!! |
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Que tu es beau mon PGP ! Equilibré, robuste, compact et fiable, tu nous accompagnes dans tant de parties échevelées ! Comment peut-on se dire paintballeur sans jamais t’avoir utilisé ? Caché dans une poche sous l’imper, ou fièrement porté à la hanche dans ton holster, tu ne laisses jamais indifférent, le sot qui mal comptant, tes dix coups +1, se trouva fort dépourvu quand la bille en full face fut venue ! Que dire de plus, sinon que ce matériel n’est plus fabriqué par Shéridan. On dit qu’il a été tué par les copies comme le ZGP (nettement moins robuste) mais nous savons bien qu’il n’en est rien et qu’en fait, son côté inusable l’a fait juger "non rentable" par les commerciaux. C’est pourquoi nous chérissons la 50aine d’exemplaires en notre possession et que nous sommes sans doute les seuls en France à savoir encore les réparer... Noir Solitaire "auprès de mon gun... ne, je vivais zeureu ! ...J’aurai jamais dû m’éloigner de lui !" |
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Fiche technique : 
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PGP ! L’essayer, c’est l’adopter ! |
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Pour jouer avec, il vous faut tout d’abord, installer la sparklette de CO2 dans le logement sous le canon (ne pas serrer trop fort), puis placer 10 billes dans le réservoir situé au-dessus du canon.
Quand on veut armer, on casse le poignet de manière à orienter le canon vers le haut. Les billes sont alors poussées sous l’effet de la pesanteur vers l’entrée de la chambre que l’on dégage en ramenant la pompe en arrière. Une bille glisse dedans le logement, puis on rabaisse le poignet et on repousse la pompe bien à fond. On vise, on tire, on touche et la cible fait “aille”. Bravo ! |
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Le petit conseil qui tue... |
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Lorsqu’on joue en PGP, vous vous en apercevrez vite, certains comptent les coups tirés pour savoir quand vous devrez réarmer. Voulez-vous devenir le Lucky Luke de votre club, le seul kid à posséder un six coups qui en tire 7 ? Alors comme vous êtes malins, réfléchissez, vous trouverez aisément la manière d’avoir 11 billes à la place de 10... lDe quoi surprendre, uniquement les oreilles non averties ! En réalité, les compétiteurs s’y prennent autrement, ils gardent toujours dans la main gauche entre la paume et l’annulaire 3 ou 4 billes de réserve qu’ils parviennent à glisser dans le réservoir tout en courant... mais bon, faut un peu d’entrainement pour ça ! |
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Entretien... |
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Un chiffon humide pour ôter la terre et les poussières et quelques gouttes d’huile après chaque utilisation suffiront à votre fidèle compagnon pour sa préservation. |
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Les pannes ? |
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Hein ? Quoi ? De quoi ? Mais mon bon, un PGP (un vrai, pas la pâle copie du ZGP) est inusable ou quasiment. Ceux de l’association datent de 1994 !!! Evidemment, si vous faîtes partie des Négligents capables d’oublier d’enlever la sparklette après la séance de jeu... Arrive ce que devra ! C’est à dire que la sparklette va coller contre la membrane d’étanchéité et vous aurez le plus grand mal à ôter la sparklette sans arracher la membrane. Et quand on déplace ou arrache la membrane (le joint en fait), alors là GROSS PROBLEM, la KATASTROPHE ! Le gun fuit et pas qu’un peu ! Il faut tout démonter... Au bas mot, si tout va bien, une heure de travail pour “quelqu’un qui sait” et qui est équipé pour ! Et si je vous dis ça, c’est parce que je suis un des derniers à savoir faire dans l’Hexagone... Alors avant de faire La Grosse Bêtise, appelez-moi : S.O.S. GHOSTGUNNERS 06.12.82.50.00 ... RIPOULIN...! MARCHAND’TACHES en tous genres, tout bien et tout honneur |
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 Qui a commandé une planchette PGP ?
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Et pour les plus nostalgiques ... |
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 ... Sachez que nous avons aussi un petit stock de ce bon vieux Splatmaster en état de fonctionner !!! |
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